Témoignages

Justine Hamelin

« Si j'ai des questions ou s’il m'arrive un ennui de santé, je sais que je serai prise en charge rapidement par une équipe d’experts. »

L’Institut de Cardiologie de Montréal est synonyme de tranquillité d’esprit et de confiance absolue pour Justine. Opérée dans un autre centre à l’âge de 4 ans pour un souffle au cœur et une communication interauriculaire (CIA), elle est suivie rigoureusement par un cardiologue à l’Institut depuis ses 18 ans. Si elle a des questions ou s’il lui arrive un ennui de santé, elle sait qu’elle y sera prise en charge rapidement par une équipe d’experts. Avec sa participation à la Biobanque de l’Institut, elle passe aujourd’hui des tests qui permettront d’investiguer la relation entre les gènes et sa condition de santé cardiovasculaire. Cette démarche lui permettra de mieux comprendre sa maladie, et de participer à une recherche qui permettra de savoir si celle-ci est héréditaire.

Justine s’implique fièrement dans le Comité relève de la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal pour s’entourer d’autres jeunes philanthropes généreux de cœur et sensibiliser sa communauté aux enjeux des maladies cardiovasculaires.

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Marie-Laurence Migneault

« Puisque j'ai bénéficié des soins incomparables offerts à l’Institut, s’impliquer auprès de la Fondation prend tout son sens. »

Marie-Laurence bénéficie des soins de l’Institut de Cardiologie de Montréal pour une cardiopathie congénitale. Elle y a notamment effectué son profil génétique et élaboré, avec son cardiologue, un plan de traitement adéquat qui lui permet aujourd’hui de jouir d’une vie normale malgré sa condition.

En tant que jeune professionnelle, elle cherche constamment des façons de s’impliquer et de mettre à profit son réseau de contacts. Puisqu’elle a bénéficié des soins incomparables offerts à l’Institut, s’impliquer auprès de sa Fondation prend tout son sens. Comme membre du Comité relève de la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal, elle trouve des manières toujours plus créatives d’encourager les gens à donner pour la cause.

Pour elle, il n’existe pas de solution miracle pour faire progresser la médecine cardiovasculaire. Donner fait partie des moyens qui permettent concrètement à l’Institut d’offrir des soins ultraspécialisés aux patients qui, comme elle, sont aux prises avec une maladie du cœur. Pour sensibiliser le plus de gens possible à la cause, elle n’hésite pas à parler de son expérience, et à partager auprès de son réseau les découvertes et les avancées de l’Institut dans le domaine de la cardiologie.

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Pierre-Marc Hamelin

« Je suis particulièrement fier de pouvoir être suivi dans l’un des trois meilleurs centres de cardiologie au monde. »

Patient de l’Institut de Cardiologie de Montréal depuis ses 18 ans, Pierre-Marc s’est fait installer un défibrillateur en juillet dernier. Opéré à cœur ouvert à l’âge de 3 ans en raison d’une communication interauriculaire (CIA), il constate au mois de mai 2018 une absence de progression dans ses sports et un essoufflement de plus en plus prononcé. Une arythmie commence également à l’inquiéter. En juin, il se rend d’urgence à l’Institut, où on identifie une faiblesse au cœur reliée à une arythmie, ainsi qu’une désynchronisation des ventricules. Deux opérations d’ablation plus tard pour corriger l’arythmie, il se fait installer un défibrillateur. Sa convalescence a été rapide : quelques mois plus tard, il a même repris son entraînement!

Pierre-Marc a toujours senti que l’expertise en cardiologie à l’Institut est très avancée. À chacune de ses visites, il se sent rassuré et entre bonnes mains. Il est d’ailleurs convaincu que le personnel passionné qui y travaille est parfaitement outillé pour soutenir sa santé cardiovasculaire. Il est particulièrement fier de pouvoir être suivi dans l’un des trois meilleurs centres de cardiologie au monde.

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Louis-Philippe Clairoux

« Je suis reconnaissant de pouvoir aujourd’hui reprendre un rythme normal, bien que je doive apprendre à apprivoiser ma nouvelle vie »

Louis-Philippe a été opéré deux fois alors qu’il était très jeune : à 10 jours pour une communication interventriculaire (CIV), et à 7 ans pour une coarctation de l’aorte. Malgré sa condition et les opérations subies, il a toujours fait beaucoup de sport, en plus de nourrir sa passion pour la musique. À 20 ans, en route pour le travail, il éprouve un fort malaise et devient inconscient. Il se réveille plus tard à l’hôpital, où on lui confirme qu’il a fait un AVC, et qu’il est paralysé du côté droit. Alors étudiant à l’université, il doit repartir de la base en écrivant de la main gauche, en voyant d’un seul œil, et en gérant ses problèmes de mémoire récurrents. Grâce au sport et à la musique, à son entourage très présent et à la prise en charge de l’équipe médicale de l’Institut de Cardiologie de Montréal, il est reconnaissant de pouvoir aujourd’hui reprendre un rythme normal, bien qu’il doive apprendre à apprivoiser sa nouvelle vie. Son évolution est incroyable.

Louis-Philippe soutient la cause de la Fondation de l’Institut de Cardiologie pour sensibiliser et encourager la communauté à donner généreusement, et faire une différence dans la vie des jeunes patients.

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Stéphane Deslauriers

« Sans l’immédiate prise en charge et les indéniables compétences de tous ces médecins, ma vie aurait été toute autre. »

Au printemps 2003, Stéphane commence à ressentir certains symptômes cardiaques désagréables. Un matin de mai, il s’évanouit en prenant sa douche. Il se dirige aussitôt en direction de l’Institut de Cardiologie de Montréal. Après avoir passé un électrocardiogramme révélateur, il est immédiatement admis afin de passer des examens plus approfondis.

Après deux semaines complètes sur place, les médecins de l’Institut statuent qu’il est porteur d’une maladie congénitale : la cardiomyopathie hypertrophique. D’un commun accord, ils décident de procéder à l’implantation d’un défibrillateur cardiaque afin de le protéger d’une mort subite ou d’une défaillance cardiaque majeure. Dès sa sortie de l’hôpital, son médecin le rassure avec empathie et lui confirme qu’il doit poursuivre ses activités. Il a suivi son conseil, et a couru un demi et un marathon, en plus d’avoir une vie pleinement active. Sans l’immédiate prise en charge et les indéniables compétences de tous ces médecins, sa vie aurait été toute autre. Pour lui, l’Institut de Cardiologie de Montréal, c’est une histoire de cœur!

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Louis A Tanguay

« Planifier un don avec la Fondation, c'est multiplier son impact auprès des équipes soignantes et des patients. »

Planifier un don avec la Fondation, c’est poser un geste de générosité de la façon la plus avantageuse possible, tant pour soi que pour l’Institut de Cardiologie de Montréal. C’est avoir le plaisir de faire plus avec la même somme, et ainsi multiplier son impact auprès des équipes soignantes et des patients.

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Jean-Pierre Quintin

« J’ai décidé de faire un legs testamentaire à la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal.  »

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité au monde. Grâce à l’Institut de Cardiologie de Montréal, plus de 68 000 patients suivis annuellement ont retrouvé une meilleure qualité de vie. C’est le cas de monsieur Jean­‑Pierre Quintin.

« L’Institut a sauvé ma vie, et j’en suis grandement reconnaissant. Ce que j’apprécie le plus de cette institution, c’est que les gens se parlent et s’entraident. Le lieu est convivial, à un tel point qu’on oublie que l’on est malade. Je suis suivi par des professionnels dévoués qui ont mon bien-être à cœur. »

Convaincu de l’importance des soins, de la recherche, de l’enseignement, de la prévention, et avec la volonté d’honorer ses valeurs, monsieur Quintin a choisi de prévoir un don testamentaire pour soutenir l’Institut qui a changé sa vie.

« J’ai décidé de faire un legs testamentaire à la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal pour assurer la continuité des projets de tous ceux qui prodiguent des soins exceptionnels aux patients. »

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Jules Landry

« Je trouve que le don d'actions est facile. Il me permet d’être plus généreux, tout en profitant du retour fiscal. »

Il y a une vingtaine d’années, j’ai eu des pontages à l’Institut. Mon père aussi y avait été suivi pour des problèmes cardiovasculaires. Nous avons toujours été bien reçus et traités lors de nos visites. Les équipes sont extraordinaires et nous donnent toute leur attention. C’est d’ailleurs ce qui m’a amené à faire des dons au départ. Mon soutien est donc comme une petite carte de remerciement pour les soins que j’y ai reçus.

Pour moi, l’Institut, c’est une histoire de famille! J’y suis particulièrement attaché, et c’est une grande fierté de voir sa renommée internationale.

Au cours des dernières années, j’ai découvert le don d’actions, qui offre des avantages fiscaux importants. Je trouve que cette façon de donner est facile : c’est ce qui m’a poussé à désormais faire des dons d’actions plutôt qu’en argent. Ce type de don me permet ainsi d’être plus généreux, tout en profitant du retour fiscal. Tous les gens qui détiennent des actions devraient en profiter! Il suffit d’en parler avec l’équipe de la Fondation pour comprendre tous les avantages du don d’actions.

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Louise Chandonnet et Leonard Travis

« Pour nous, l’Institut, c’est le ciel! Ils font ce qui est bon pour nous. Les services offerts aux patients sont incroyables. »

Depuis plus de 20 ans, nous sommes suivis à l’Institut par des médecins compétents, consciencieux et à l’écoute. À chaque visite, le personnel nous rassure et s’occupe bien de nous. Quand on sort de notre rendez-vous, on est toujours apaisé. Chaque membre de l’équipe travaille activement pour trouver la meilleure façon de nous soigner. Ils vont au fond des choses pour trouver la solution.

Pour nous, l’Institut, c’est le ciel! Ils font ce qui est bon pour nous. Les services offerts aux patients sont incroyables.

La Fondation de l’Institut joue elle aussi un rôle important dans notre histoire. Elle est là pour nous conseiller, nous guider, et répondre à nos questions. À chaque discussion, on voit à quel point ils sont professionnels, structurés et honnêtes, et que les fonds sont bien gérés.

On reconnait notre chance d’être pris en charge par les meilleurs. C’est pour cela que nous avons choisi de faire un don testamentaire à l’Institut. On sait que notre argent sera bien utilisé.

Tout le monde devrait considérer cette façon de donner pour soutenir une institution sans égal dont la réputation n’est plus à faire.

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Catherine S.

« Penser au futur et inclure la Fondation dans mes plans, c’est ma façon de dire merci. »

J’ai toujours été très impliquée dans ma communauté. Être présente pour mes proches et ma famille est fondamental. Pour moi, donner, ce n’est pas me priver de quelque chose : c’est faire un geste qui me dépasse.

En tant qu’employée de l’Institut de Cardiologie de Montréal, je suis bien placée pour savoir à quel point notre centre a une importance primordiale pour les Québécois. Je côtoie tous les jours des patients qui ont des problèmes cardiovasculaires, parfois même depuis leur jeunesse, et dont la vie a été teintée par leur condition. Je suis également témoin au quotidien du leadership de nos équipes.

Quand les gens viennent à l’Institut, ils sont soulagés. Ils savent que leur cœur se trouve entre les meilleures mains. À l’Institut, on ne traite pas seulement la maladie, on traite le patient.

Quand mon conjoint et moi avons revu nos assurances vie, j’ai choisi d’ajouter la Fondation aux bénéficiaires de ma police. Cela ne m’a demandé ni effort ni temps, et je sais maintenant qu’à un certain moment, la Fondation de l’Institut recevra un petit quelque chose à mon image.

La vie m’a gâtée : je suis active et en bonne santé. Penser au futur et inclure la Fondation dans mes plans, c’est ma façon de dire merci.

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